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Typhoon de David (1ère partie), version Yves EZANNO juin 44

Typhoon
Salut à tous,
Désormais, l'escadrille s'agrandie réellement.
Je vais plagier notre ami Gilles en ce qui concerne la présentation de ma construction, mais ne me tirez par dessus, mon Typhoon n'est pas encore prêt pour riposter...
Voici la réplique du Typhoon piloté par Yves EZANNO en juin 1944.
  Allez, on démarre avec la photo 1 : ma bible de tous les soirs avant le repos bien mérité. C'est un cadeau de noël dernier, et bien sûr, les Typhoon sont bien présents puisque les 4 zones du débarquement sont détaillées avec leurs pistes historiques. [caption id="attachment_20268" align="alignnone" width="426'>Télécharger le PDF
1 Typhoon 1

B9 est traitée en pages 300 à 302 (photos 2 et 3). En photo 4, on retrouve B8 avec ses Typhoon équipés de roquettes. Bref, feuilleter ce bouquin est motivant et je ne vais pas m'en séparer : ce sera mon paquet de vitamines et j'en aurai bien besoin car le Typhoon devra être prêt dans 8 mois maximum ! [caption id="attachment_20269" align="alignnone" width="426'>Télécharger le PDF
2 Typhoon 2

  [caption id="attachment_20270" align="alignnone" width="426'>Télécharger le PDF
3 Typhoon 3

  [caption id="attachment_20271" align="alignnone" width="426'>Télécharger le PDF
4 Typhoon 4

Ayant suivi la construction des copains, j'ai bien compris le challenge principal, à savoir le centrage du bestiau : Top Moumoutte m'a livré un stock de balsa qui me servira aussi pour mon Cassut, et le colis contient du balsa light pour le stab et la dérive (photos 5 et 6). [caption id="attachment_20272" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
5 Typhoon 5

  [caption id="attachment_20273" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
6 Typhoon 6

Toutes les planches sont passées à la moulinette, euh à la balance (photo 7). Le 15/10 plume pèse de 12 à 20 gr (photo 9) contre 24 à 38 en standard (photo 11). L'écart pour le 30/10 standard est hallucinant : de 36 à 70 gr la planche ! [caption id="attachment_20274" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
7 Typhoon 7

  [caption id="attachment_20275" align="alignnone" width="426'>Télécharger le PDF
9 Typhoon 9

  [caption id="attachment_20276" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
11 Typhoon 11

La comparaison avec du Depron de 6 mm est également incroyable : 16 gr (photo 12). Il faudra donc travailler intelligemment. [caption id="attachment_20277" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
12 Typhoon 12

J'ai décidé de commencer par le stab pour un démarrage en petit braquet : il est prévu en structure, à partir des nervures du plan Vaillancourt. Toutes les nervures sont découpées dans du Depron de 6 mm (photos 13 et 14). L'opération m'a pris une bonne heure car il a fallu redessiner l'emplacement du longeron arrière. Sur le plan, il est prévu en balsa de 11 mm. Je l'ai remplacé par du balsa de 6 mm assez dur, comme sur les maquettes Ziroli. A ce stade, j'ai hésité entre une construction en demi-coquilles ou en un seul morceau. Finalement, ce sera la même méthode que Gilles. J'ai donc ajouté les talons de nervures pour éviter tout vrillage. Vous noterez sur ces photos que ces talons font toute la longueur de la nervure : c'est normal, sinon, du fait la souplesse du Depron, la queue de nervure pourrait s'affaisser. Je les couperai et poncerai après le coffrage de l'extrados. Si tout va bien, le collage sur les longerons de 8x5 samba sera réalisé demain. A bientôt ! David [caption id="attachment_20278" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
13 Typhoon 13

Photo 14
Typhoon 14
Salut les Tiffie Boys ! C'est décidé, j'ai retenu la version de mon Typhoon, à savoir le TPE du Squadron Leader français Yves Ezanno, équipé d'une casserole d'hélice rouge (voir photo 4 ci-dessus). Moins célèbre que Pierre Clostermann, ce pilote avait néanmoins réalisé une centaine de missions de guerre avec cet appareil et avait bien entendu participé aux opérations de juin 1944 avant d'occuper B5 puis B10 en juillet. Un peu d'histoire toujours pour maintenir la motivation et la cadence ! Côté maquette, la construction se poursuit avec le collage du longeron supérieur sur les nervures en Depron. Souhaitant utiliser une baguette entière, ce longeron de samba comporte une encoche de 2 mm en son milieu pour faciliter son pliage du fait de l'effilement du profil biconvexe (photo 15). [caption id="attachment_20745" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 15 Photo 15

Les deux longerons prennent donc en sandwich une plaque de balsa renforcée à son extrémité par deux épaisseurs de 30/10 plume (photos 16 et 17). [caption id="attachment_20746" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 16 Photo 16

[caption id="attachment_20747" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 17 Photo 17

J'ai réalisé après coup que le samba était plus lourd que le balsa et que le collage d'une clé d'aile en CTP de 15/10 (masse de 7 grammes) pouvait s'avérer superflu mais j'ai préféré jouer la prudence face au risque de perdre les empennages en vol plutôt qu'essayer de trop courir après les grammes inutiles. Pour limiter le surpoids, les saumons ne seront pas maquettes car réalisés en utilisant le prolongement du profil de la dernière nervure et en ponçant le longeron à la forme idoine (photo 18). [caption id="attachment_20748" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 18 Photo 18

Les planches de coffrages en 15/10 (également plume) sont collées bord à bord, méthode que j'ai reprise sur les conseils de Gilles et que je ne connaissais pas (photo 19). [caption id="attachment_20749" align="alignnone" width="533'>Télécharger le PDF
Photo 19 Photo 19

La jointure est donc parfaite et permettra d'échapper au masticage habituel. Après coffrage de l'extrados, le longeron d'intrados est posé avant de couper les talons de nervures à la lame de cutter. Ils sont ensuite poncés au plus près du profil (photos 20 à 24). [caption id="attachment_20750" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 20 Photo 20

[caption id="attachment_20751" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 21 Photo 21

[caption id="attachment_20752" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 22 Photo 22

[caption id="attachment_20764" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 22- 1 Photo 22- 1

[caption id="attachment_20753" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 23 Photo 23

[caption id="attachment_20754" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 24 Photo 24

Le balsa de coffrage est suffisamment translucide pour laisser apparaître la structure à contre-jour (photo 25). [caption id="attachment_20755" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 25 Photo 25

[caption id="attachment_20756" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 26 Photo 26

[caption id="attachment_20757" align="alignnone" width="533'>Télécharger le PDF
Photo 27 Photo 27

Je vous expliquerai plus tard ma méthode pour renforcer les fibres sans alourdir le bois, procédé qui permet par ailleurs de limiter l'absorption de la résine lors du marouflage. Avant de coffrer l'intrados, les extrémités de la plaque de 30/10 sont également renforcées (photos 35 et 36). [caption id="attachment_20758" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 35 Photo 35

[caption id="attachment_20759" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 36 Photo 36

A ce stade de ma construction, il faut placer les blocs des charnières. Pour éviter toute erreur de positionnement, j'ai débuté la réalisation des volets mobiles. Balsa plume et Depron sont de rigueur (photos 37 et 38). [caption id="attachment_20760" align="alignnone" width="533'>Télécharger le PDF
Photo 37 Photo 37

[caption id="attachment_20761" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 38 Photo 38

J'avais pensé simuler les compensateurs mais j'ai finalement renoncé, toujours dans l'optique de limiter la masse derrière le centre de gravité (photos 39 et 40). En effet, Gilles ayant eu l'honneur de se lancer le premier, il est logiquement en tête en ce qui concerne l'opération de centrage du warbird ! La chasse au plomb est donc lancée et je vais tenter de simplifier au maximum la partie arrière du Typhoon (pas de roulette rétractable notamment). [caption id="attachment_20762" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 39 Photo 39

[caption id="attachment_20763" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 40 Photo 40

P : J'espère ne pas vous ennuyer avec ces trop grandes précisions sur ma construction, mais je suis incapable de passer du temps à l'atelier le soir. Ces quelques mots me permettent de rester dans la course de la motivation et de prolonger l' aventure Typhoon plus régulièrement, en réservant la grosse bagarre avec le balsa et la colle pour le week end ! ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Le 10 novembre 2013

Hello les Tiffie Boys : l’équipe s’agrandit avec un girondin tombé dans une cuve de Saint Emilion, lequel y a trouvé un Typhoon Mk1 de toute beauté, déjà construit. Gloups… La pression monte, comme si je n’en avais pas suffisamment !
Je dois donc mettre l’hélice au grand pas pour ne pas rester cloué au sol en juin prochain.
La batterie chargée à bloc (elle fume encore), voici les dernières nouvelles de Seine et Marne.
Je me suis équipé auprès d’un sorcier de l’usinage et de la mécanique pour le train : François m’a livré un superbe lot de boitiers électriques et de jambes amorties d’une qualité incroyable !!! (photos 28 à 32).
J’avais acheté chez E-retract les RS 999, prévus pour des maquettes de 15 kg, mais trop justes à mon avis pour équiper ce Typhoon : la comparaison visuelle est largement à l’avantage des produits de la tribu Fermaut, et je ne doute pas un instant que le fonctionnement sera à la hauteur de la qualité du matériel (photos 55 et 56).
N’étant pas certain que les découpes du train (sur le plan) seront adaptées à mon aile (mon profil est différent si vous vous en souvenez), j’ai donc décidé de coller les nervures en CTP après coffrage de l’extrados.
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28 Photo 28

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29 Photo 29

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30 Photo 30

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31 Photo 31

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32 Photo 32

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33 Photo 33

Petit colis reçu la semaine dernière, une mini-balance de précision (photo 34). Elle me sera utile pour réaliser les comparaisons entre les différents matériaux tels que Depron 6mm / balsa 3 mm, solartex / papier japon ou encore solartex / tissu de verre… La nervure n°12 en balsa non trié pèse 3,4 grammes (photo 33). 
Aucun intérêt à la réaliser en Dépron ou à l’alléger par des évidements qui pourraient la fragiliser.
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34 Photo 34

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41 Photo 41

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42 Photo 42

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43 Photo 43

Retour sur le stabilisateur. Les six blocs de balsa de 100/10 plume ont été collés (trois charnières par volet (photos 41 et 42) et l’alignement avec les nervures des volets est parfait (photo 43).
L’intrados du stabilisateur peut donc être posé, à noter qu’il pèse 99 grammes à ce stade de la construction avec sa clé en CTP 15/10 et ses âmes verticales de 15/10 balsa (photo 45).
Je l’ai coffré et j’ai ajouté les bords d’attaque de 6 mm (2x3 mm en lamellé-collé). Sans les parties mobiles, il pèse 123 grammes (photos 47 et 48). Je suis toujours dans la course !
Après quelques jours à ne rien faire sur le Typhoon, j’ai profité d’un long week end pour me pencher sur les ailes.
J’ai fait le choix d’une réalisation tout bois, car c’est la méthode que j’affectionne le plus. Mais quelle version ? Si j’utilise les gabarits du plan Vailly Aviation, il faudra découper le fuselage comme Gilles. Un vrai chirurgien cet homme-là : sa maîtrise de la découpe de la fibre est impressionnante et je ne suis pas certain de pouvoir en faire autant.
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45 Photo 45

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47 Photo 47

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48 Photo 48

L’autre méthode consiste à dessiner les nervures une à une à partir des 3 gabarits de Patrick, sans avoir recours au bistouri. En fait, le temps de la réflexion a tourné court car Patrick a eu la gentillesse de me livrer le fuseau avec ses couples et la barre de fixation des ailes en place (photos 49 et 50). Hors question de découper le fuselage dans ces conditions…
Je pensais me lancer dans une simple mais longue séance de découpage de nervures afin d’occuper mes soirées mais je me suis rendu compte que notre ami Patrick avait eu la bonne idée d’utiliser un profil dégressif pour limiter la traînée du warbird (photo 51). Les choses se compliquent donc pour mes planches de balsa qui piaffent d’impatience : en effet, il est impossible de faire jouer la photocopieuse pour dessiner les nervures intermédiaires entre la n°1 et la n°5 (du plan).
Ce qui devait constituer une simple formalité pour une aile en mousse devient un vrai casse-tête pour les adeptes du balsa : la seule solution pour s’en sortir sans casse implique de réaliser les nervures par la méthode du bloc. Ce Typhoon me donne du fil à retordre, il doit garder quelques souvenirs de ses sorties de 1944 à Creully…
49
Photo 49
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50 Photo 50

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51 Photo 51

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52 Photo 52

Si la précision de l’exercice est évidente avec les ailes à corde constante, c’est plus aléatoire lorsque l’aile possède un effilement prononcé. Avec celle du Typhoon, cela devrait être jouable. Pour simplifier la manœuvre, j’ai intercalé autant de blocs de Depron que de nervures entre deux gabarits de CTP de 5 mm (photo 52). [caption id="attachment_21211" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
53 Photo 53

[caption id="attachment_21212" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
54 Photo 54

Les nervures sont découpées dans du balsa de 30 et 40/10, un doublage en CTP aviation étant prévu pour les n°3, 5 et 6 (photo 54). S’agissant de mon premier train rentrant à cette échelle, la séance de casse-tête (anglais !) est plutôt longue pour trouver les bons angles des baguettes de support de train (photo 53). J’ai bien suivi les conseils de Gilles, à savoir descendre les boitiers le plus bas possible vers l’intrados, donc l’ajustage doit être optimisé. [caption id="attachment_21213" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
55 Photo 55

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56 Photo 56

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57 Photo 57

La réalisation de l’aile commence donc par la partie centrale : les nervures en balsa sont collées sur un longeron en pin de 9x9.
Puisque l’essayer, c’est l’adopter, j’ai repris la méthode de Gilles pour m’assurer que les queues de nervures étaient bien alignées : un profilé alu en L devient un référentiel ultra-précis (photos 57 et 58). A noter que sur la photo cela paraît simple mais j’ai passé presque 2 heures à trouver le bon ajustage des nervures du fait de la découpe par la méthode du bloc. Elles sont espacées de 6 à 11 cm. Heureusement que le coffrage dissimulera cette piètre construction. J’utilise une cale en balsa pour respecter l’angle de 90° et je me suis confectionné 2 cales à 6° pour le dièdre de la nervure n°5 (photo 59). L’ajustement avec le panneau externe devrait être ainsi optimisé.
Ce panneau central est composé quant à lui de 3 parties afin de respecter les dimensions du fuselage en fibre de Patrick. La première comporte 5 nervures identiques, puis les deux autres sont équipés de 4 nervures chacun (photos 60 à 67). Il m’a fallu un week end pour le réaliser, soit plus de 8 heures de boulot.
L’aile sera équipée de 2 tourillons de centrage en hêtre de 10 mm (photos 68 à 70).
A ce stade de la construction, la partie centrale n’est pas coffrée car je dois vérifier la jonction avec les panneaux externes.
Encore de la découpe à prévoir…
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58 Photo 58

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59 Photo 59

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60 Photo 60

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61 Photo 61

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62 Photo 62

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63 Photo 63

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64 Photo 64

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65 Photo 65

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66 Photo 66

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67 Photo 67

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68 Photo 68

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69 Photo 69

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70 Photo 70

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Le 11 novembre 2013 

Petite pause avec réflexion sur le choix du pilote. La maquette étant au 1/5ème, un buste réaliste à cette échelle n’est pas évident à trouver. Mais en cherchant bien sur Internet, la source aux miracles a été rapidement identifiée : la société Bestpilot (http://bestpilots.typepad.com/my_weblog/) propose plusieurs pilotes entiers (masse environ 100 gr), en position assise : il s’agit de répliques exactes de pilotes ayant œuvré durant la WWII : Papy Boyington est archi-réaliste avec sa tenue des Marines (photos 71 et 74). [caption id="attachment_21261" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
Photo 71 Photo 71

[caption id="attachment_21262" align="alignnone" width="402'>Télécharger le PDF
72 Photo 72

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73 Photo 73

[caption id="attachment_21264" align="alignnone" width="289'>Télécharger le PDF
74 Photo 74

Installé dans un Wildcat, on s’y croirait presque (photo 75). [caption id="attachment_21265" align="alignnone" width="603'>Télécharger le PDF
75 Photo 75

Par contre, la carte bancaire en prend un coup : 65 $ non peint et 195 $ terminé. Même traitement pour Malan (photo 76). [caption id="attachment_21266" align="alignnone" width="320'>Télécharger le PDF
76 Photo 76

Un tour sur ce site peut vous faire perdre la tête. D’ailleurs, ce créateur de génie peut vous la prendre et la réduire à cette échelle pour l’insérer dans le buste de votre choix. 330 $ mais il vous la rend plutôt bien (photo 77). [caption id="attachment_21267" align="alignnone" width="469'>Télécharger le PDF
77 Photo 77

Autre produit de qualité, les figurines Dragon in Dream ou Hot Toys : elles sont réalisées au 1/6ème en plastique très dur. La masse est donc un vrai désavantage car il faut compter 280 gr pour un pilote tout équipé. Mais quel réalisme ! Pilote de Spitfire ou mitrailleur de B17, et c’est parti pour occuper un cockpit de la meilleure façon (photos 78 à 85).
[caption id="attachment_21268" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
78 Photo 78

[caption id="attachment_21269" align="alignnone" width="426'>Télécharger le PDF
79 Photo 79

[caption id="attachment_21270" align="alignnone" width="426'>Télécharger le PDF
80 Photo 80

[caption id="attachment_21271" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
81 Photo 81

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82 Photo 82

[caption id="attachment_21273" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
83 Photo 83

[caption id="attachment_21274" align="alignnone" width="640'>Télécharger le PDF
84 Photo 84

[caption id="attachment_21275" align="alignnone" width="426'>Télécharger le PDF
85 Photo 85

Je me suis amusé à reconstituer un pilote de la Luftwaffe avec de la mousse et du fil de fer avec, au final, une masse réduite à 106 grammes (photos 86 à 91).
Si vous êtes intéressés, ci-après les sites qui les commercialisent :
http://www.figurines-12-pouces.com/fr/caltek/11396-pilote-de-chasse-de-la-raf.html
Attention, les disponibilités sont très temporaires (6 mois maximum) car les figurines sont livrées au compte-goutte chez ces distributeurs. Chez MachineGun, le pilote de Spitfire est disponible en pré-commande uniquement.
Quelle est la différence de taille entre le 1/5 et le 1/6 ? Si on considère que le pilote à l’échelle 1/1 mesure 180 cm, c’est dont une taille de 30 cm au 1/6 et 36 cm au 1/5. Un tour de tête de 56 cm fera donc 9,5 cm au 1/6 contre 11,2 au 1/5. C’est donc jouable pour le Typhoon et les deux pilotes logent ensembles dans mon atelier. S’il s’avèrent trop petits, il me restera à construire une autre maquette au 1/6 ème (un Skyraider Ziroli par exemple ?).
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86 Photo 86

[caption id="attachment_21277" align="alignnone" width="480'>Télécharger le PDF
87 Photo 87

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88 Photo 88

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89 Photo 89

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90 Photo 90

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91 Photo 91

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Alain RONK

(9 commentaires)

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    • watelet gilles le 2013-09-09 11:33:53
    bienvenue David, plagies , plagies mon ami, cela sera du pur bonheur de voir un autre Typhoon prendre vie et évoluer dans le temps. Attention le temps est compté J-292 et si tu veux plus de précision j'ai commencé le mien le 6 Oct 2012, et j'ai travaillé dessus environ 38 semaine à raison de 20 h /semaine soit 760h  cela va te permettre le compte à rebours pour être prêt les 7 et 8 juin 2014 allez au boulot A+ bon courage Gilles
    • guillaume.B le 2013-09-09 12:32:46
    Le site d'alain va devenir LA référence en matière de typhoon !!!! :lol: Bonne continuation ! 8) A + Guillaume.    
    • David Adam-Cuvillier le 2013-09-09 20:07:26
    C'est le genre de conseils révélateurs du temps à consacrer pour un tel projet. Merci Gilles !  :wink:Je vais devoir me retrousser les manches car je ne sais pas encore comment trouver 20 heures par semaines ...  
    • Alain RONK le 2013-09-09 20:14:17
      Author

    Sans compter que les 20 heures par semaine..., c'est pendant une quarantaine de semaines...

    Au secours ! 8-O

    Courage courage  :wink:

    • jfmcorsair le 2013-09-09 22:28:07
    Oui on va suivre ça de trés prés ! Sachant que dans une journée il y a 24 h,8h boulot,8h dodo,il te reste donc 8h par jour ! courage ,tu ca va le faire ! :wink:
    • Gilles le 2013-11-11 10:31:02
    Salut David,   bon et bien voilà tu es sur les rails et bien parti. N'hésites pas à poser des questions si tu bloques sur un détail du plan .En tous les cas bravo pour le travail réalisé Haut les c?urs comme dirai mon vénérable maitre Papy (38) Alain S A+ Gilles
    • jfmcorsair le 2013-11-11 11:05:50
    Salut David OUi ça avance, est c'est le principal ,n'hésite pas sur les commentaires ,je suis preneur ,et je ne doit pas être le seul ! :wink: En tout les cas beau boulot et une fois l'aile terminée ,le plus dur est fait ! A bientot :-D JF  
    • David le 2013-11-11 21:48:28
    Merci pour vos encouragements. C'est facile et reposant de passer son temps à ne rien faire... Mais la motivation est bien là, c'est çà l'esprit du collectif ! Le mois de novembre s'annonce mal : je ne serai quasiment pas disponible les week end... David
    • jfmcorsair le 2013-11-16 17:43:01
    Salut David Beau boulot !Pas boulot sur ton typhoon au mois de novembre ,c'est pas grave ! une petite pause fait du bien ,et ça te permettra de réfléchir  au problème technique et de ne pas mettre la charrue avant les b?ufs :wink:   Amicalement JF

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